Les textes de David

"Sans avoir fermé la porte qui conduit dans l'obscurité, On ne peut avancer vers notre vie tant désirée. Quitte à en perdre un bien tant mérité, Graal obtenu par tant de difficultés, Offert à une maman aujourd'hui décédée. Ce bien, par une mégère à été volé, Faisant croire qu'elle savait aime

Moi, avoir peur de dire ce que je pense ? Non ! Ce sont ceux qui ne pensent pas qui devraient avoir peur, car il sera peut-être trop tard... Alors, posez-vous la bonne question : Changer le pansement ou penser le changement ? Moi je pense... © 2015 David pour Charente Périgord. Tous droit

En ce matin hivernal, ils admirèrent les environs décorés de somptueux paysages enneigés, embellis de forêts à perte de vue dont les arbres et les prairies avaient été recouverts d’un glaçage nacré que déposait maintenant ce fluide matinal gelé. Un étang au loin était revêtu de son manteau d

Après tant de loyauté, de travail acharné, de solidarité et de fidélité, je pars vers de nouvelles contrées, ailes déployées. J'avance sans me retourner, décisions enflammées. Je vise de nouvelles épopées, sens effleurés. Le vent souffle ma liberté, la terre gronde ma colère énervée. Je suis ére

Citrouille ma belle citrouille, dis-moi qui va mourir ce soir, que je lui fasse les fouilles. Le soir de samhain, ne te donne pas la peine, je vais te boire les veines. Moi, je serai l'ombre de tes illusions, la folie sombre de tes visions. Je hanterai tes rêves pour en faire des cauchemars. J'y

Un soir d'hiver au coin du feu, je murmurerai mon souffle aimant dans son oreille pour ainsi dire à la personne qui m'est due que je me donne entièrement. Dans la caresse, je fondrai mon regard au sien pour dévoiler la flamme qui brûle mon cœur et l'étincelle maudite du foyer ardent animant c

14 mars 2013, tu es partie... Depuis ce jour, j'ai grandi. Depuis ce jour, j'ai mûri. Depuis ce jour, j'ai dit. Le temps passe, et le mauvais s'efface. Le bien triomphe du mal, pour devenir le lien d'une profonde spirale. J'avance et je continue, dans l'errance d'une vie émue. Je vois ton sour

Le monde d'antan n'est devenu qu'un conte d'enfant. J'admire, pourtant, cette étincelle diamant, mais je suis devenu grand. Cette échoppe sentiments de mon cœur cuisant, je la hurle à travers le vent. Je t'entends, je te sens, je te prends, désir brûlant et enivrant. Je t'aperçois, toi, l'amant pe